Je vous ai quittés, il y a quelques semaines, en vous parlant de vacances. Je reviens aujourd’hui en vous parlant à nouveau de vacances !
Non, ne vous inquiétez pas, je ne radote pas, et je n’ai pas non plus l’intention de repartir en vacances maintenant. Déjà parce que mon livre ne va pas s’écrire tout seul. Et puis finalement, c’est bien aussi la rentrée, c’est excitant je trouve.
Mais j’ai envie, avant de tourner la page, de vous parler des vacances, parce qu’il s’est passé des choses intéressantes, quand même 😉
Une évolution certaine
J’ai déjà écrit un article sur les vacances, l’année dernière. Et en la relisant, je me rends compte que j’ai pas mal évolué sur la question. J’ai l’impression qu’à force de prêcher le lâcher-prise pour les autres, j’ai fini par y arriver moi-même, hi hi !
Eh oui, l’année dernière, je vous disais que je n’arrivais pas à me connecter pendant les grandes vacances, parce que, grosse excuse, mes enfants m’en empêchaient. Sauf que cette année, mes enfants étaient tout aussi « tourbillonnants », mais ça ne m’a pas empêchée de réussir quelques petites connexions sympathiques 😉
Ce qui a changé par rapport à l’année dernière, c’est le lâcher-prise, c’est sûr. J’ai arrêté de vouloir contrôler à tout prix. Mais aussi, j’ai compris que canaliser, pour moi en tout cas, ce n’était pas voir une image super nette dans ma tête avec une voix qui me disait en sous-titre ce qu’il fallait comprendre.
Nan, moi, dans ma tête, c’est tout fouillis et ça passe à toute vitesse ! Alors j’ai intérêt à être attentive et à avoir confiance en moi, sinon c’est mort.
Quelques expériences…
Ce sont les Clédelâme qui m’ont aidée à comprendre la manière dont je canalisais. Ensuite, ça s’est affiné avec la pratique, et maintenant, je sais canaliser même sans écrire une histoire ou capter une guidance. Il suffit que je pose l’intention.
Alors cet été, au pays des menhirs, j’ai tenté une expérience. J’ai posé mes mains sur un menhir géant, juste comme ça, pour voir, pour tenter de ressentir quelque chose. Les enfants couraient autour, excités, et moi je me disais « Ne te laisse pas déconcentrer, go go go ! ».
Et alors, dans ce court laps de temps où j’ai posé ma main sur cette pierre et où j’ai laissé les images venir à moi, j’ai vu : des fées qui faisaient la ronde autour de ce menhir, ainsi qu’une espèce de tunnel vortex qui partait de sous la pierre pour s’enfoncer profondément dans la Terre. C’était fugace mais j’ai bien eu ces deux visions. J’étais contente, même si, comme toujours, je doutais : mon imagination ou de la canalisation ?
Après quelques recherches, j’ai appris que certaines traditions populaires rapportaient effectivement des rondes de fées autour des menhirs lors des nuits de solstices, tandis que le tunnel sous la pierre s’apparenterait en fait à un vortex.
Laisser venir les images
Après, personne ne pourra sans doute jamais confirmer ou infirmer mes ressentis, mais j’ai décidé de le prendre comme un jeu merveilleux et ça me remplit de joie. Après tout, c’est tout ce qui compte, non ?!
Un peu plus tard pendant ces vacances, nous visitions les ruines d’un château fort, et notamment les vestiges d’une église dont il ne restait plus que la base des murs.
Là encore, je me suis approchée d’un des murs, j’ai posé ma main sur lui et j’ai laissé venir les images : j’ai vu des femmes, à l’allure noble, portant de hauts chapeaux pointus, et puis j’ai vu aussi de lourdes tentures rouges drapant les murs de cette église (détruite avec le reste du château en 1610, donc ça ne date pas d’hier !).
J’ai de nouveau fait quelques recherches, pour savoir si ce que j’avais vu avait un minimum de véracité historique. Et là, bim bam boum, je vous le donne en mille ?! Les tentures sur les murs des églises, ça existait, et les longs chapeaux pointus pour les femmes nobles aussi !
Encore une fois, c’était une scène fugace, mais je l’ai captée, alors je suis fière de moi.
Vous aussi, vous pouvez !
Peut-être que je pourrai mesurer comme ça, d’été en été, l’évolution de mes perceptions. C’est vraiment amusant je trouve !
Et aussi, pour finir cet article, je voulais vous dire, à vous qui me lisez et qui doutez de vos capacités, que vous aussi, vous pouvez canaliser ! Vous n’y arrivez pas, ou vous croyez que vous n’y arrivez pas, parce que vous mettez la barre trop haut.
C’est beaucoup plus simple que ce que vous imaginez, je vous assure. Moi aussi, je m’en faisais tout un roman avant, mais finalement, il faut juste laisser venir à soi en toute confiance.
Ne pas aller chercher, laisser venir. Exit le contrôle, bonjour l’accueil. C’est ça la clé 🙂
Je vous souhaite à tous une merveilleuse rentrée !
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