devenir médium, parcours médiumnité

 

« On » me presse depuis quelques jours d’écrire un article sur mon parcours médiumnique. Je vous dis souvent que le déclic a été la guidance angélique en mars 2016. Mais en fait, tout était là, en latence, depuis bien plus longtemps. Peut-être même depuis toujours ?

Alors voilà, je vais essayer d’écrire un article le plus exhaustif possible sur mon parcours. Hop, c’est parti !

La femme dans le couloir…

Mon plus vieux souvenir date de quand j’avais 8 ou 9 ans. Une nuit, en revenant des toilettes, qui étaient tout au bout du couloir, à côté de la porte d’entrée, j’ai « vu » une femme devant la porte de la salle. J’ai eu si peur que j’ai couru jusqu’à ma chambre. Le lendemain, j’ai demandé à ma mère ce qu’elle faisait dans la salle en pleine nuit, elle m’a évidemment répondu qu’elle n’était pas allée dans la salle pendant la nuit. Oups !

À la même époque, je me souviens que je récitais des prières tous les soirs quand j’étais dans mon lit, en recroquevillant mes jambes, parce que j’avais peur des « trucs » qui étaient au fond. Je mettais aussi le drap bien sur mon oreille, au cas où, et je me tournais toujours du même côté pour dormir, vers le mur. C’était de la superstition en quelque sorte.

Ça, c’était donc il y a trèèèèèès longtemps (eh oui, je commence à me faire vieille !). Ensuite, c’est un peu le grand flou… Je sais que je me suis toujours intéressée, de près ou de loin, à la question de la vie après la mort en tout cas.

Mon esprit cartésien n’était pas prêt

Pendant trente ans, j’ai fait des allers-retours vers ce questionnement qui m’attirait et me repoussait à la fois. J’ai été surprise de redécouvrir dans ma bibliothèque les livres de Raymond Moody, du père François Brune… je me souvenais les avoir lus, mais je les avais oubliés dans un coin de ma mémoire !

Ce que j’y avais lu m’avait fascinée, mais j’en avais conclu que ça restait du domaine de l’imagination, que ce n’était pas la réalité. Je ne sais plus ce qui m’avait conduite à cette conclusion, mais mon esprit cartésien n’était en tout cas pas prêt à valider la réalité de la vie après la mort, même si j’avais pourtant très envie d’y croire.

Et puis ma grand-mère est morte, en août 2002. Et là, je crois que ça a vraiment été le début d’une nouvelle phase dans ma vie. Elle a commencé à apparaître dans mes rêves quelques années après, sans que je n’aie rien fait spécialement pour que ça arrive. Je me rendais compte que ces rêves n’étaient pas comme les autres (je suis une grande rêveuse, je me souviens généralement bien de mes rêves), leur atmosphère était indéniablement différente…

À bien y réfléchir, j’avais déjà rêvé de mon grand-père, dans les années 90 il me semble. Là aussi, c’était un rêve à part…

Des rêves et une pincée de TCI

Je rêvais de ma grand-mère, donc. Et puis j’ai commencé à rêver des autres personnes de ma famille après leur décès. Mais pour moi, encore à ce moment-là, ce n’était que des rêves, même si je les trouvais particulièrement forts et bouleversants.

Je me souviens aussi qu’entre 2005 et 2009, à l’époque où j’habitais à Montrouge, j’avais essayé de faire de la TCI pour capter ma grand-mère. Mais je n’avais pas su m’y prendre car je n’avais pas réussi, malgré plusieurs essais. Remarque, j’avais tellement la trouille d’entendre un truc sur l’enregistreur que finalement, ce n’est pas plus mal que ça n’ait pas marché ! Je n’étais pas prête…

En novembre 2008, j’ai encore fait un rêve avec ma grand-mère. Mais celui-là, il m’a complètement bouleversée, à tel point que je m’en souviens encore fort bien aujourd’hui. C’était très très puissant. Et surtout, c’est un rêve qui est arrivé à un moment très précis dans la vie de ma famille, pour deux occasions particulières qui se produisaient justement ce jour-là, sans que je le sache encore.

Là, avec quelques mois de recul, je me suis dit que ce n’était pas possible, ça ne pouvait PAS être une coïncidence, ça n’était pas un rêve. Ma grand-mère était vraiment venue vers moi, j’en étais persuadée. Je pense que la première vraie ouverture de conscience a eu lieu à ce moment-là.

En 2015, ça part en vrille !

Ensuite, la vie m’a bien occupée on va dire : j’ai été enceinte de mon premier enfant, puis, cinq années plus tard, de ma fille. Je n’avais plus trop le temps de penser à la vie après la mort, je m’occupais à plein temps de la vie tout court !!! Et puis j’étais encore dans mon poste salarié de journaliste, j’habitais encore en région parisienne… Je menais une vie à 100 à l’heure, on peut le dire.

C’est en 2015, quelques mois après la naissance de ma fille, que les choses ont recommencé à bouger, mais là, ça n’a plus rigolé, c’est allé crescendo pour me mener jusqu’à vous aujourd’hui ! En 2012, nous avons quitté les Hauts-de-Seine pour le Loiret, où nous vivons encore aujourd’hui. Et entre-temps aussi, je me suis mise à mon compte d’abord comme écrivain public, puis comme rédactrice web.

Petit à petit, l’oiseau fait son nid…

Et donc, on en arrive à cet été 2015 où tout a commencé à tanguer. Sur le coup, je n’ai pas capté grand-chose, mais avec le recul, c’est quand même ahurissant tout cet enchaînement !

Nous sommes partis en vacances dans le Morvan, dans un vieux gîte aux murs très épais. Il y avait une grande pièce à vivre en bas, sans fenêtres, mais avec deux portes de part et d’autre. À l’étage, deux chambres et une salle de bain. C’est peu de dire que je me sentais affreusement oppressée dans cet endroit ! Vraiment, je me sentais mal à l’aise, je n’aimais pas y rester.

Et le pompon à ce sentiment diffus de malaise, c’est que la lampe halogène s’allumait et s’éteignait toute seule, sans que personne ne la touche ! Euh ?… Je sentais clairement une présence, mais je ne voulais pas le reconnaître je pense. En tout cas, quand nous sommes rentrés chez nous, c’était la première (et la seule fois je pense !) que j’étais contente de finir des vacances !

Un déclic en entraîne d’autres…

Toujours durant cet été 2015 dans le Morvan, je suis tombée, par un « hasard » abracadabrant, sur une médium en plein milieu d’un minuscule village. En fait, elle tenait un food-truck de cuisine indienne avec son mari, et j’avais discuté avec elle en attendant que ma commande soit prête. Au bout d’un moment, elle m’avait lâché qu’elle était médium et m’avait donné sa carte ! Que j’ai toujours d’ailleurs… Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ?

En septembre, je suis allée passer quelques jours chez une amie très chère, dans le Lot, en compagnie d’une autre amie sorcière. Nous avons discuté de tout et de rien, et notamment de mes rêves de défunts. Pour elles, il s’agissait clairement de médiumnité, car elles ne faisaient jamais de rêves de ce genre. Encore une étape dans la prise de conscience…

Fin octobre, je suis allée à Paris pour assister à la conférence « Peut-on communiquer avec les morts », organisée par l’INREES à l’occasion de la sortie du livre « Le Test » de Stéphane Allix. C’est comme si on m’avait poussée très fort pour que j’assiste à cette conférence, je ne peux pas dire autre chose. Je n’avais jamais fait ça avant, je ne l’ai jamais refait depuis, mais là, j’ai acheté le billet pour la conf et une chambre d’hôtel dans la foulée. Je ne me suis même pas demandé pourquoi je voulais à ce point y assister. Il FALLAIT que j’y aille, c’est tout.

Des anges-gardiens ? Partout !

J’ai donc assisté à cet après-midi de conférences, qui étaient passionnantes du début à la fin d’ailleurs. Quand Stéphane Allix a terminé la sienne, il a fait monter sur scène des médiums. Et là, ZE révélation pour la Fabie : waow, les médiums ressemblent à Monsieur/Madame Toutlemonde ! C’est choquant ! Il y en avait bien un qui avait un air mystérieux, mais les autres, franchement, on aurait dit mes voisins ! Je trouvais ça fascinant, je les fixais du regard, j’essayais de voir ce qui les distinguait du commun des mortels… mais non, rien, vraiment rien. Nouvelle prise de conscience.

Quelques semaines plus tard, début 2016, je ne sais plus par quel déroulé logique, je me suis retrouvée à lire « Enquête sur l’existence des anges gardiens », de Pierre Jovanovic. Il raconte dans ce livre sa découverte de l’existence de ses anges gardiens et a récolté de nombreux témoignages sur le sujet. Des témoignages plus fascinants les uns que les autres. D’ailleurs, faudrait que je le relise ce livre, tiens. Et à la fin du bouquin, Jovanovic interpelle les lecteurs en leur demandant de ne pas le croire sur parole mais d’expérimenter par eux-mêmes en demandant à leur ange gardien de leur montrer des preuves de son existence.

Bah moi, on me dit ça, qu’est-ce que je fais ? Je teste, évidemment ! Alors là, ça a été un vrai festival, ça n’arrêtait pas ! Entre les plumes blanches dans mon jardin (alors qu’il n’y en avait jamais avant), la chanson Angel de Robbie Williams qui passait en pleine nuit à la radio, le refrain du « Parking des anges » pile sur le mot « anges » quand j’allumais l’auto-radio et plein d’autres événements du genre, j’ai été servie niveau preuves. Pour aller jusqu’au bout, j’ai donc commandé la guidance angélique, en cet étrange mars 2016.

Je découvre ma médiumnité

Mes missions de vie : l’écriture et la médiumnité, voilà ce que me disait la guidance. Je n’étais pas surprise en ce qui concerne l’écriture, puisque je baignais dedans depuis toujours, mais la médiumnité m’a interpellée. En même temps, ce n’était pas si surprenant que ça non plus, vu tout ce qui m’était arrivé les derniers mois et qui avait commencé à me « réveiller ».

La guidance insistait vraiment sur le fait que je devais travailler avec ma médiumnité, parce que plusieurs cartes étaient sorties pour le souligner. Mais ça me laissait perplexe : ok, j’avais peut-être des capacités, pourquoi pas, mais de là à en faire un métier, il ne fallait pas exagérer, ce n’était pas du tout mon truc ! Moi, mon truc, c’étaient les mots…

Mais quand même, j’ai voulu essayer de me perfectionner, de faire progresser cette médiumnité nichée en moi. Et comme la guidance avait été un déclic incroyable, dans le sens où je SAVAIS maintenant qu’il y avait vraiment des « gens » de l’autre côté, que ce n’était pas une chimère, eh bien ma conscience s’est un peu plus ouverte et je me suis mise à capter des tas de choses dingues.

Ce sont dans les semaines et les mois qui ont suivi que j’ai vécu : des lumières inexpliquées dans ma chambre en pleine nuit, des phénomènes de clairaudience, une boule-flash lumineuse au-dessus de mon ordinateur, des PVE lors de conversations Skype… et je ne vous cite là que les événements les plus marquants.

Des questionnements en pagaille

Pfffiou, je crois que je n’ai jamais écrit un article aussi long dites donc ! Bon, on continue ? Oui, on continue, parce que je n’ai pas fini de tout vous raconter !

Donc, entre mars et juin 2016, je me demandais ce que je devais faire de cette médiumnité que je ne maîtrisais absolument pas. Ça partait dans tous les sens, ça allait, ça revenait…. Et moi, je me sentais complètement impuissante dans l’histoire, même si j’avais essayé de reprendre le contrôle en suivant un coaching médiumnique. Qui n’avait pas fonctionné, puisque, évidemment, en agissant de la sorte, je n’étais pas dans le lâcher-prise.

En juin, je suis partie en week-end à Paris, avec mes amies sorcières. Et là, ça a été la folie ! Je savais avant de partir que ça allait être fort, mais ça a dépassé tout ce que j’aurais pu imaginer. Je vous passe toutes les synchronicités qu’on a vécues, il y en aurait trop à vous raconter. Mais je suis obligée de vous parler de ce qui s’est passé au cimetière du Père Lachaise en ce mois de juin 2016. Parce que si ça ne s’était pas passé, je ne suis pas sûre que j’aurais ensuite créé le blog, écrit mes livres et tout le toutim.

La synchronicité de malade que j’ai vécue ce jour-là m’a confirmé que la médiumnité était bel et bien la voie que je devais suivre et que je n’avais pas de doutes à avoir à ce sujet. Pour ceux qui lisent mon blog depuis le début, vous savez sans doute de quoi je parle car je l’ai déjà raconté dans un article. Il se trouve donc que mes amies et moi, nous déambulions dans le Père-Lachaise, sans réfléchir, en laissant nos pas nous guider.

Une synchronicité de malade

Et alors, comme PAR HASARD, nos pas nous ont guidées droit vers la tombe d’Allan Kardec, inventeur du spiritisme pour ceux qui ne le sauraient pas. Déjà, ça, c’est un truc de dingue quand on sait le nombre de tombes qu’il y a dans ce cimetière (je viens de regarder : 69 000 tombes !).

Mais le truc encore plus dingue – que tu ne croirais pas même si tu le voyais dans un film de Lelouch -, c’est qu’au moment-même où nous sommes arrivées à cette tombe, un guide était en train d’expliquer à un groupe qui était Kardec et patati et patata. Et le guide a lancé, en voyant un homme s’avancer dans l’allée : « tiens, justement, voilà Monsieur X, qui est lui aussi médium ».

Euh… comment vous dire qu’un tremblement de terre ne m’aurait pas fait plus d’effet ?! J’ai failli avoir un arrêt cardiaque tellement j’ai été choquée par cette « coïncidence » inouïe ! J’avais l’impression que tout se passait au ralenti, j’étais bouche bée, complètement sonnée. Le truc complètement improbable quoi !

Là j’ai compris que l’Univers ne rigolait pas et avait employé les grands moyens pour me faire admettre que la médiumnité était ma nouvelle voie. Je n’avais plus le droit de douter.

Et paf, tout tombe en 48 heures !

Bon, je n’ai plus douté de ma voie, mais j’ai douté des moyens pour la mettre en œuvre. Ben oui, mettez-vous à ma place, vous ! J’étais rédactrice web, tranquille peinarde, et là, on me demandait de lâcher tout et de devenir médium ?! Euh… « What is the fuck ? », comme dirait mon fils !

J’ai laissé passer l’été, et puis, fin septembre 2016, un soin énergétique spécial Mission de vie s’est présenté à moi. C’était un soin collectif, mais je me suis dit que ça m’aiderait peut-être à y voir plus clair dans mon avenir professionnel. C’est fou comme tout s’est enchaîné de manière fluide n’empêche, je m’en rends compte avec le recul…

Ce soin a marché du tonnerre de Dieu (alors que d’habitude, ça me fait moins d’effet, en tout c’est moins perceptible) : le lendemain et pendant 48 heures d’affilée, j’ai eu l’idée du blog, son nom et plus de 70 idées d’articles ! Ça tombait à toute vitesse, je n’arrêtais pas d’écrire, c’était incroyable ! Et puis ça me semblait tellement une évidence, ce blog, que je ne comprenais même pas comment je n’avais pas pu avoir l’idée avant.

Un mois après, « Je Deviens Médium » était là, en ligne… Et tout de suite, il y a eu des lecteurs. Tout de suite, des commentaires. Tout de suite des gens qui ont été touchés. J’étais rassurée et heureuse, je n’écrivais pas dans le vide !

Et puis, les Clédelâme, les guidances…

Du 2 novembre 2016 à aujourd’hui, j’ai continué à cheminer dans ma médiumnité, mais avec vous et grâce à vous cette fois ! Je n’étais plus seule…

J’ai continué à chercher de quelle manière je pouvais développer ma médiumnité. Et puis « on » m’a soufflé l’idée des Clédelâme. Et maintenant, avec le recul, je souris en pensant à tous ces mois où j’ai cherché en vain comment améliorer ma médiumnité. On peut vraiment dire que j’ai cherché de midi à 14 heures ce qui était là, sous mes yeux, en moi !

L’écriture, merde ! C’est quand même pas compliqué Fabie ! En plus, c’était marqué dans ma guidance angélique, hein, mais non, il a fallu que j’aille chercher ailleurs si j’y étais… Remarque, ça devait faire partie du chemin je pense. J’avais besoin de ça pour me trouver.

Et donc, avec les Clédelâme, j’ai compris que je canalisais quand j’écrivais. J’ai compris aussi que souvent, l’inspiration, c’est de la canalisation. En fait, je canalise depuis toujours ou presque, mais je ne le savais pas ! C’est vrai que j’ai toujours été fascinée par ce qui se passait quand je prenais un stylo ou que je me mettais à pianoter sur mon clavier pour écrire : les mots, les phrases, m’échappaient, ils sortaient tout seuls, comme libres, comme indépendants de mon propre raisonnement, sans contrôle… C’était, et c’est toujours, de la canalisation.

Une fois que j’ai compris comment ça fonctionnait, et en pratiquant quotidiennement ou presque les Clédelâme (merci à tous ceux qui m’en ont commandé d’ailleurs !), mes perceptions se sont affinées, ma confiance a grandi.

Et demain ?…

Et puis, au bout de quelques autres mois, j’ai commencé à faire des guidances. Et là aussi, ça venait tout seul. J’avais compris mon fonctionnement. Aujourd’hui, je n’ai plus besoin d’écrire pour capter, j’arrive à faire la différence entre mes pensées et ce qui vient d’ailleurs.

Je sais que le chemin est encore long, et j’en suis super contente ! Parce que quand je me retourne et que je vois tout le parcours que j’ai effectué jusqu’à présent, je me dis « WAOW, c’est dingue ! »  L’avenir ne peut être que merveilleux après un tel cheminement !

J’ai donc hâte de voir ce que les prochains mois et années vont me réserver. J’ai plein d’idées en tête, ça bouillonne ! Déjà, je voudrais essayer, sur le principe des Clédelâme et des guidances, de capter des messages de défunts. Pour l’instant, c’est assez étrange, mais ce que je capte quand je regarde une photo de défunt, c’est un épisode de sa vie. Comme un petit film…

Et puis, pourquoi pas canaliser des messages, des textes, voire carrément des petits livrets/ebooks personnalisés pour chaque consultant ? Ce seraient des textes uniques adaptés à ses problématiques, ses questions, son cheminement… Je pense que ça pourrait vraiment être très intéressant, le seul problème étant : quand est-ce que je trouve le temps de le faire ??! Arf…

Voilà, je ne sais pas si vous avez tenu jusqu’à la fin de cet article très très très long, mais je vous annonce que ça y est, il est fini, vous pouvez retourner vaquer à vos occupations ! Je ne sais pas s’il vous a été utile, je l’espère. En tout cas, il fallait que je l’écrive, alors c’est chose faite !

Peut-être que j’ai oublié des choses, mais je pense que l’essentiel y est, quand même.

Enfin bref, rendez-vous au prochain épisode comme on dit ! 😉